OEUVRE EN VEDETTE

WORKSHOP 360

WORKSHOP 360 est une sculpture en bois artisanale (1,30 mètres de hauteur), constituée d'éléments multiples peints à la main.

Elle a été réalisée grâce au concours d'un vieux maître sculpteur traditionnel, originaire de la province du Kongo-Central, en République Démocratique du Congo.

Quelques photos de WORKSHOP 360 dans son environnement,

à l'atelier...

Vidéo de Workshop 360

Bien qu'artisanale...

...est interactive

Chaque face de l'oeuvre est liée à un QR CODE, lui-même associé à des contenus vidéo sur internet, accessibles depuis votre smartphone.

CHAPITRE II

LES CONTENUS VIDEO

Découvrez ici les vidéos associées à chaque face de la sculpture

FACE D

FACE B

FACE C

FACE A

...est au croisement de plusieurs arts.

WORKSHOP 360 innove et vous offre une expérience artistique à 360°conviant plusieurs disciplines: sculpture; peinture; littérature (conte, nouvelle et poésie numérique); journalisme et fake new; documentaire et court-métrage...

CHAPITRE III

LES SECRETS DERRIERE L'OEUVRE

Jean-Pascal Guyati

L'Hatelier

3. Le sens de l’oeuvre

Constituée d’éléments multiples, WORKSHOP 360 est démontable et remontable à l’infini. La sculpture symbolise tout en les matérialisant l’ordre et le chaos créatif à l’œuvre dans un atelier d’artiste. Construction et destruction, ordre et chaos représentant le pile et le face d’une chose unique : la vie.

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4. L'hommage à l'ami disparu

WORKSHOP 360 rend aussi hommage à l'ami de l'artiste, Jean-Pascal Guyati, critique d'art contemporain africain (il animait une émission intitulée "PAROLES D'ART"), décédé dans l’atelier de Lionel Héritier Apenela en mars 2025 dans des circonstances violentes et mystérieuses, alors qu'il réalisait un documentaire sur l'atelier du concepteur.

Dans ce sens, la sculpture est aussi un micro-mausolée.

360.000 USD

WORKSHOP 360 n'est pas qu'un mausolée dédié à la mémoire d'un ami défunt. C'est aussi un hommage rendu à la vie. En effet, c’est dans l’atelier où il réalisait son petit documentaire que Jean-Pascal Guyati avait fait la connaissance, quelques jours avant sa disparition tragique, de la peintre Audrey Kibamba Mutu, originaire de la province du Kongo-Central et formée à l'Académie des Beaux-Arts de Kinshasa.

Audrey Kibamba Mutu

2. Le nom de l'oeuvre et son prix

1. Origine et description de l'oeuvre

L'oeuvre représente d'une manière abstraite, symbolique et totémique l'atelier de l'artiste (aussi appelé l'Hatelier), une ancienne demeure coloniale qui se trouve sur une plage à l'ouest de la République Démocratique du Congo, à l'embouchure du fleuve Congo, face à l'océan Atlantique.

Le nom de l'oeuvre "WORKSHOP 360" renvoie non seulement au caractère multidimensionnel de la sculpture mais aussi au prix de départ auquel elle se propose d'être vendue: 360.000 dollars américains.

Racheter l'Atelier.

Si l'oeuvre est acquise à ce prix, la somme permettra à l'artiste de racheter la demeure au bord de la mer où se trouve l'atelier (l'Hatelier) et d'en faire un espace créatif durable où seront notamment revalorisés l'artisanat local et traditionnel. Et les savoir-faire ancestraux.

L'oeuvre n'a donc pas qu'un rôle esthétique mais aussi une fonction magique et sociale: permettre à l'artiste de racheter l'atelier et développer son village. C'est un fétiche.

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Le laboratoire des animaux; zèbre." Peinture d'Audrey Kibamba Mutu (tryptique)

Cette jeune et jolie congolaise est aujourd’hui enceinte d’un petit garçon, baptisé Néos, dont le parrain est le sculpteur Lionel Héritier Apenela.

Les peintures d'Audrey d'Audrey et la sculpture WORKSHOP 360 forment ensemble une installation, toujours en hommage à Jean-Pascal Guyati.

CHAPITRE IV

LA POLEMIQUE AUTOUR DE L'OEUVRE

L’accusation de magie

L’artiste Lionel Héritier Apenela a fait face à une campagne de diffamation sans précédent. Il a été accusé d’avoir eu recours à des pratiques de magie ancestrale pour assurer le succès de ses œuvres et les vendre à un prix exorbitant (360.000 USD pour une simple sculpture en bois).

La rumeur, d’abord lancée sur les réseaux sociaux, s’est rapidement propagée dans les médias traditionnels : télévisions, journaux et même certains magazines d’art réputés.

Au cœur de cette affaire : des soupçons aussi graves qu’invraisemblables. L’artiste congolais, originaire du village de Nisamfumu en République Démocratique du Congo — une région souvent associée à des récits mystiques — aurait, selon certains, sacrifié ou fait assassiner rituellement son supposé meilleur ami, le critique d’art et podcasteur Jean-Pascal Guyati, venu réaliser un documentaire dans son atelier.

Autre accusation : avoir mis enceinte la très belle Audrey Kibamba Mutu, maîtresse présumée de la victime et présentée par ses détracteurs comme une « sirène » — une créature envoûtante et maléfique venue de la mer, selon certaines traditions orales du littoral congolais.

Face à cette déferlante, l’artiste a réagi avec fermeté. Il dénonce des attaques « diffamatoires, absurdes et délirantes », précisant que ni Jean-Pascal Guyati, ni Audrey Kibamba Mutu n’existent.

Tous deux sont des personnages fictifs, créés dans le cadre d’un projet artistique de sculpture innovant explorant les frontières entre réalité, fiction et intelligence artificielle: WORKSHOP 360.

Le concepteur Lionel Héritier Apenela

+243 1 280 43 69

EPILOGUE

Chaque vie, chaque monde, chaque être humain est un atelier.