OEUVRE EN VEDETTE
WORKSHOP 360


Une sculpture littéraire de
Lionel Héritier Apenela
"Parce que derrière chaque sculpture,
il y a une histoire."


CHAPITRE I
Présentation de l'oeuvre
WORKSHOP 360 est une sculpture en bois artisanale (1,30 mètres de hauteur), constituée d'éléments multiples peints à la main.


Elle a été réalisée grâce au concours d'un vieux maître sculpteur traditionnel, originaire de la province du Kongo-Central, en République Démocratique du Congo.








Elle a été conçue par Lionel Héritier Apenela, artiste multidisciplinaire qui avait déjà inventé les premières expositions d'art contemporain sous l'eau, dans des piscines publiques, en Belgique.
Les oeuvres étaient placées sous l'eau et le public, invité à les découvrir en masques de plongée et en lunettes de bain. Une invitation à regarder le monde différemment et à découvrir les oeuvres d'art autrement.









Quelques photos de WORKSHOP 360 dans son environnement,
à l'atelier...
Vidéo de Workshop 360

Bien qu'artisanale...




Chaque face de l'oeuvre est liée à un QR CODE, lui-même associé à des contenus vidéo sur internet, accessibles depuis votre smartphone.


...est interactive
CHAPITRE II






Vidéo 1
Vidéo 2
Vidéo 3
Vidéo 4
Découvrez ici des extraits du documentaire réalisé par le critique d'art Jean-Pascal Guyati (personnage de critique d'art fictif créé à l'aide de l'intelligence artificielle) sur l'Hatelier.
(Agrandissez pour un aperçu grand écran)
Les contenus interactifs de la sculpture "WORKSHOP 360".


...est au croisement de plusieurs arts.
WORKSHOP 360 innove et vous offre une expérience artistique à 360°conviant plusieurs disciplines: sculpture; peinture; littérature (conte, nouvelle et poésie numérique); journalisme et fake news; documentaire et court-métrage...
CHAPITRE III


Les secrets derrière l'oeuvre


Jean-Pascal Guyati


L'Hatelier
WORKSHOP 360 rend aussi hommage à l'ami virtuel de l'artiste, Jean-Pascal Guyati, critique d'art contemporain africain artifciel (il anime une pseudo-émission intitulée "PAROLES D'ART") qui n'aura jamais droit à l'existence.
Dans ce sens, la sculpture est aussi un micro-mausolée.
360.000 USD
WORKSHOP 360 n'est cependant pas qu'un mausolée.
C'est aussi un hommage vibrant rendu à la vie.
En effet, c’est dans l’atelier où il réalisait soi-disant son petit documentaire que Jean-Pascal Guyati a fait la connaissance de la belle Audrey Kibamba Mutu, peintre originaire de la province du Kongo-Central, formée à l'Académie des Beaux-Arts de Kinshasa. et également artificielle.


Audrey Kibamba Mutu
2. Le nom de l'oeuvre et son prix
1. Origine
La sculpture WORKSHOP 360 représente d'une manière abstraite, symbolique et totémique l'atelier de l'artiste (aussi appelé l'Hatelier).
Le nom de l'oeuvre "WORKSHOP 360" renvoie non seulement au caractère multidimensionnel de la sculpture mais aussi au prix de départ auquel elle se propose d'être vendue: 360.000 dollars américains.
L'objectif?
Racheter l'Atelier.
Si l'oeuvre est acquise à ce prix, l'artiste pourra racheter l'atelier (l'Hatelier) et en faire un espace créatif durable où seront notamment revalorisés l'artisanat local et les savoir-faire ancestraux et traditionnels.
L'oeuvre n'a donc pas qu'un rôle esthétique mais aussi une fonction magique et sociale: permettre à l'artiste de prendre possession de l'atelier et développer son village.
C'est un fétiche.
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Le laboratoire des animaux; zèbre." Peinture attribuée à Audrey Kibamba Mutu (tryptique)




Les peintures d'Audrey d'Audrey et la sculpture WORKSHOP 360 forment ensemble une installation.
3. L'hommage à l'ami virtuel
CHAPITRE III


La polémique autour de l'oeuvre.
L’accusation de magie
L’artiste Lionel Héritier Apenela a fait face à une campagne de diffamation sans précédent. Il a été accusé d’avoir eu recours à des pratiques de magie ancestrale pour assurer le succès de ses œuvres et les vendre à un prix exorbitant (360.000 USD pour une simple sculpture en bois).
La rumeur, d’abord lancée sur les réseaux sociaux, s’est rapidement propagée dans les médias traditionnels : télévisions, journaux et même certains magazines d’art réputés.
Au cœur de cette affaire : des soupçons aussi graves qu’invraisemblables. L’artiste congolais, originaire du village de Nisamfumu en République Démocratique du Congo — une région souvent associée à des récits mystiques — aurait, selon certains, sacrifié ou fait assassiner rituellement son supposé meilleur ami, le critique d’art et podcasteur Jean-Pascal Guyati, venu réaliser un documentaire dans son atelier.
Autre accusation : avoir mis enceinte la très belle Audrey Kibamba Mutu, maîtresse présumée de la victime et présentée par ses détracteurs comme une « sirène » — une créature envoûtante et maléfique venue de la mer, selon certaines traditions orales du littoral congolais.
Face à cette déferlante, l’artiste a réagi avec fermeté. Il dénonce des attaques « diffamatoires, absurdes et délirantes », précisant que ni Jean-Pascal Guyati, ni Audrey Kibamba Mutu n’existent.
Tous deux sont des personnages fictifs, créés dans le cadre d’un projet artistique de sculpture innovant explorant les frontières entre réalité, fiction et intelligence artificielle: WORKSHOP 360.
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Sculptures interactives élégantes pour clientèle raffinée.
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la consultation du site (souvent écoutée dans l'atelier):
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